Le profil type d’un HENRY Il gagne entre 100 000 $ à 250 000 $ par an.
- Il ne se considère pas comme riche.
- Il est dépensier : il a tendance à dépenser d’abord et à reporter l’épargne ou l’investissement à plus tard dans la vie.
- Il fait attention à ce qu’il consomme : il souhaite collaborer avec des marques éthiques durables et animal friendly.
Oui, tu as bien lu “Henry’s” dans le titre. Et, non, ne t’inquiète pas, nous n’allons pas te parler des personnes portant ce nom. Il s’agit simplement de l’acronyme de “high earner, not rich yet”, qui signifie littéralement qui « gagne beaucoup d’argent, mais n’est pas encore riche ». Alors, pourquoi qualifier ces consommateurs de nouvelles cibles pour le tourisme de luxe ? Car, il s’agit des voyageurs qui dépensent sans compter et appliquent la doctrine Carpe diem à leur vie. Pamela N. Danzinger dans «
What Do HENRYs Want?, » estime que même si les HENRYs représentent moins de 20 % des ménages américains, ils sont considérés comme la « masse aisée », puisqu’ils sont à l’origine de 40 % des dépenses.
Ces caractéristiques font d’eux des clients de choix ! Pourquoi ? Car, en plus de posséder un compte en banque attractif, ils ont tendance à préférer l’expérience aux produits. Dans le monde du tourisme de luxe, ce sont eux qui souhaitent vivre un moment unique et 100 % personnalisé. Pour eux, le luxe est dans la rareté. Mais pas que ! Ils accordent également une grande importance à l’éthique et à la durabilité. Lors de leurs recherches, ils prennent en considération l’attitude et les actions de la marque en matière d’environnement, de durabilité, de bien-être animal et de travail.